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LES CICATRICES DU SILENCE .
Les cicatrices du silence – Au cœur du pardon brise un tabou en plongeant au cœur du tourment d’un père, démuni face à la violence de son propre enfant, en proie à des troubles du développement tels que la dyslexie et le TDAH. D’abord maladroits, les gestes se font plus durs, les mots blessent, la communication s’effrite, laissant place à une incompréhension grandissante. Pourquoi une telle escalade ? Comment enrayer cette spirale infernale avant qu’elle ne devienne irréversible ?
Avec sincérité, ce récit explore les dilemmes de la parentalité, les failles du système éducatif, le poids des attentes sociétales, mais aussi la force du pardon et le long chemin vers la réconciliation. Un ouvrage bouleversant et nécessaire, qui éclaire autant qu’il interpelle, et dont chaque page résonne comme un appel à comprendre l’indicible.

Yvan Tetelbom partage son expérience de l’antisémitisme. Il évoque les situations difficiles qu’il a rencontrées en raison de son identité juive, tant dans sa vie personnelle que professionnelle. Les allusions et insinuations antisémites auxquelles il a été confronté l’ont profondément affecté, l’amenant à réfléchir sur cette haine persistante dans la société, malgré les horreurs de la Shoah pendant la Seconde Guerre mondiale.
Après avoir émigré d’Algérie à l’âge de quinze ans, il s’est intégré à la société française, mais au fil du temps, il a réalisé que la haine envers les Juifs persistait. Cette réalité le pousse à se demander pourquoi l’antisémitisme perdure malgré les leçons de l’Histoire.




Un enfant insouciant, émerveillé par la vie, est soudain figé dans son élan par la destruction de son innocence, dont la déflagration le projette dans un monde trop dur pour lui.
Un chemin d’errance et de solitude, au cours duquel il est confronté à la violence de la guerre d’Algérie, à la douleur de l’exil, à l’hostilité envers les Juifs, aux pièges des illusions, à la culpabilité.
Mais cet ouvrage n’est pas celui d’une chute. C’est l’histoire d’un relèvement, une traversée en résilience où la rage de vivre et la soif de sens tiennent lieu de boussole.
Plus qu’un témoignage, Le prédateur est une œuvre de chair et de lumière, portée par une langue habitée, qui nous rappelle que, même au cœur du chaos, il est toujours possible de se trouver et d’aimer.

Éditions Libre2lire
La mémoire mélange les temporalités, brouille l’ordonnancement chronologique des événements. Leur connexion instantanée écrase les distances.
Nous raisonnons par émotions, par croyances, sous le joug de nos perceptions sensées ou erronées. Comment rester lucide dans ces zones errantes, où le temps n’existe pas, à évoluer dans des lieux inattendus, des époques datées, futuristes ou imaginaires ?
Un récit qui interroge l’actualité politique, sociétale, culturelle de notre époque. Les personnages sont ubuesques, shakespeariens, désincarnés. Tous sont habités par la poésie et portés par un vent sec qui pousse l’horizon et produit des étés chauds, des hivers doux ou pluvieux, lesquels remontent depuis des millénaires vers la Kabylie, à partir d’Alger, pour atteindre les cimes du Djurdjura.
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